Bonjour à vous tous !
Presque deux ans après, je reviens sur ce fil.
Depuis j'ai avancé sur mon chemin avec le Reïki.
Ces presque deux ans de second degré m'on permi non seulement de ne pas consulter de mèdecin (je n'en ai pas eu besoin), mais surtout d'aller à la rencontre de moi-même.
Oh, rassurez-vous, j'ai encore beaucoup à découvrir; pour cela, à mon dernier jour, j'en serai encore à la découverte de moi !!!
Plus nous allons profond plus nous trouvons à creuser.
Je voudrais tout de même rappeler que dans toute maladie, qu'elle soit physique ou émotionnelle, c'est le malade et lui seul qui est maître de sa maladie et qui décide ou non d'en guérir, c'est lui qui "prend en charge sa maladie". Je m'explique :
Le mèdecin traditionnel, aussi bon, et aussi grand spécialiste soit-il, il pourra prescrire les meilleurs médicaments qui soient, c'est le malade qui ensuite, les prendra ou non, ou tout au moins, c'est sa volonté et son optimisme, qui feront que la guérison, avec se fera ou échouera, ou trainera en longueur.
Avec le reiki, c'est d'autant plus vrai que le "thérapeute ou donneur", (bien que les mots même si les plus usités ne soient pas les mots justes, je choisirais plutôt le "transmetteur")ne fait que mettre à la disposition du receveur une grande quantité d'énergie d'amour, énergie du cosmos dont il est le canal.
Mais ensuite, au receveur de devenir actif et d'utiliser cette énergie. Il reste libre, même s'il a au départ demandé, de l'utiliser ou non.
Il ne faut pas dire, après un soin reiki : il n'a pas été efficace.
Le "transmetteur" a eu son rôle de canal "il a fait son travail honnètement".
Mais en aucun cas, on ne peut agir à la place du receveur et s'il se ferme à cette énergie, elle n'aura fait que passer sans s'arrêter puisqu'il ne l'aura pas prise au passage, mais ça aura été son choix à lui.
On lui a mis à sa disposition, mais c'est lui qui choisi d'utiliser ou non.
Amicalement